L’approche globale en santé mentale : une nécessité

2017 – Série « Santé mentale »

Les patients souffrant de pathologie mentale ont une espérance de vie écourtée de plus de 20 % par rapport à la population générale. Les maladies cardio-vasculaires sont les premières causes de décès chez ces patients. Il faut dépister, évaluer et traiter les comorbidités, et assurer un suivi de ces patients.

Conférencier

Détenant un doctorat en biologie humaine et un doctorat d’État en médecine, Djéa Saravane est directeur du Centre régional douleur et soins somatiques en santé mentale et autisme à l’Établissement Public de Santé (EPS) Barthélemy Durand (France). Il est également directeur de l’enseignement à la Faculté de médecine de l’Université Paris Sud (France), membre associé à la Faculté de médecine de l’Université de Sherbrooke (Québec, Canada) et membre de l’équipe de l’INSERM U 669 : Santé publique, Santé mentale.

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